Maria Montessori montre à quel point la période de l’enfance est la plus importante dans la vie d’un homme. Elle explique la sensibilité du tout petit à l’ordre des choses. Elle aborde l’absorption de l’esprit sans détailler autant que dans « l’esprit absorbant ». Elle développe des points comme : le repos, la marche, le toucher, la préhension ; tout ce qui touche à sa méthode : l’ambiance, les exercices, la préparation spirituelle, le libre choix, l’importance du silence, les récompenses et les punitions, la dignité, la discipline, les jouets. Enfin elle aborde les conséquences d’une éducation classique qui sont évitées par sa méthode : les déviations, la possession, le pouvoir, la peur, le mensonge… un tas de petites choses que l’on pourrait croire normal chez un enfant, mais qui en fait ne le sont pas.